Kelly Vedovelli : son changement de look ne laisse pas les internautes indifférents

Kelly Vedovelli : son changement de look ne laisse pas les internautes indifférents

Temps de lecture moyen : 4 minutes

Kelly Vedovelli ne cesse de créer les surprises. Cette fois-ci, c’est sur le plateau de TPMP qu’elle apparaît avec un nouveau look. Sur les réseaux sociaux, certains la comblent de compliments tandis que d’autres regrettent son ancienne apparence.

La mannequin et DJ française, également danseuse dans le clip de « Bella » de Maître Gims, a interpellé les internautes en raison de sa nouvelle coupe de cheveux. Elle a dévoilé pour la première fois sa transformation, impliquant des extensions pour plus de longueur, sur le plateau de « Touche pas à mon poste« , auquel elle participe en tant que chroniqueuse depuis bientôt sept ans.

Pour rappel, Kelly Vedovelli s’est fait remarquer sur les plateaux télé pour la première fois en tant que spectatrice dans le Canal Football Club. Cette apparition, notamment derrière l’animateur Hervé Mathoux, lui a valu un contrat avec Maître Gims pour jouer dans son clip le plus vu sur YouTube. Par la suite, c’est vers le mannequinat qu’elle se dirige, et ce, avant de décrocher une place autour de la table de TPMP, dirigée par Cyril Hanouna.

Kelly Vedovelli : une nouvelle coupe qui ne passe pas inaperçue

« Qu’est-ce que vous avez fait ce week-end ? À part laisser pousser vos cheveux parce que ça a dû demander beaucoup de concentration ».

C’est ainsi que l’animateur a commenté, en plaisantant, la nouvelle coiffure de la chroniqueuse de 34 ans. Kelly, toujours avec son habituel sens de l’humour, voire de l’ironie, répond que

« c’était la pleine lune ce week-end, je me suis dit que c’était le moment de couper mes cheveux pour que ça aille plus vite ! ».

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Tout au long de ses années de travail dans la télé, Kelly Vedovelli a pris l’habitude de mettre son physique au centre des remarques des internautes sur les réseaux sociaux ou dans la presse. Cela est dû à ses changements physiques assez récurrents. Outre sa prise et sa perte de poids, ce sont les styles capillaires de la jeune blonde qui font beaucoup parler. Sur TPMP, elle a presque tout essayé. Blond platine, brun, coupes plus courtes et là, c’est au tour des extensions.

Beaucoup de compliments, peu de critiques

Avec son recours à des extensions pour donner plus de longueur à ses cheveux, Kelly Vedovelli n’a pas manqué de faire réagir les internautes sur les réseaux sociaux. Sur X (anciennement Twitter), les fans ont abondamment complimenté sa transformation.

« Un vrai soleil ! Très belle Kelly » ; « Ça lui va super bien ! » ; « J’adore les boucles comme ça », peut-on lire en commentaires.

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Et comme les goûts ne se discutent pas, aucune apparence ne fera l’unanimité. Certains, toujours sur X, disent regretter son ancienne coupe de cheveux. Pour eux, la chroniqueuse avait l’air plus jolie en étant « au naturel ».

« Kelly, vous êtes toujours jolie, mais vous avez plus de ‘chien’ avec votre coupe courte », avait commenté une internaute.

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À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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