Adèle Exarchopoulos et François Civil : une « complicité évidente » du duo en couverture de Vanity Fair

Adèle Exarchopoulos et François Civil : une « complicité évidente » du duo en couverture de Vanity Fair

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Adèle Exarchopoulos et François Civil ont posé pour la couverture de « Vanity Fair ». En raison : la promotion du film de Gilles Lellouche, « L’amour ouf », qu’ils défendront au Festival de Cannes en mai prochain.

« L’amour ouf » est inspiré du roman du même nom de l’auteur irlandais Neville Thompson. C’est un film qui raconte l’histoire d’amour entre deux jeunes originaires d’un quartier défavorisé de Dublin dans les années 1990. Selon « Variety », il aurait bénéficié d’un budget 32 millions d’euros et devrait durer trois heures.

Quant à l’intrique, elle a changé de pays et se déroule cette fois-ci en France, et ce afin de correspondre au public français, apprend-on de « Vanity Fair ». Dans les détails, il s’agit d’une histoire d’« amour fou » entre  Jackie et Clotaire, deux adolescents vivant dans un quartier du nord de la France.  La fin n’est pourtant pas joyeuse.

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Adèle Exarchopoulos et François Civil : une « complicité évidente »

Le magazine « Vanity Fair » a dévoilé, mercredi 24 avril, la couverture de son magazine du mois de mai. Ce numéro est consacré au casting du nouveau film de Gilles Lellouche « L’amour ouf », qui sera en compétition dans quelques jours au Festival de Cannes et projeté en octobre. Adèle Exarchopoulos, François Civil, Mallory Wanecque et Malik Frikah ont donc pris la pose ensemble. Allongés tous les quatre dans une chambre, ce n’était pas le seul cliché dévoilé. En effet, il y en d’autres qui ont retenu plus d’attention.

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Ce qui a fasciné les fans, c’était plutôt des clichés d’Adèle Exarchopoulos et François Civil. On y aperçoit l’actrice sur les genoux de la star de « Bac Nord » et l’article qui accompagne les photos rapporte une « complicité évidente » entre les deux acteurs. Selon le même magazine, François Civil lui chantait la chanson « FourFiveSeconds » de Rihanna, Kanye West et Paul McCartney et « lui passait la main dans les cheveux pour ajuster quelques mèches ».

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Amoureux même en dehors du tournage ?

« L’amour fou » ne sera pas la première fois à regarder ensemble Adèle Exarchopoulos et François Civil. En 2020, ils avaient joué dans le film « Bac Nord » de Cédric Jimenez. Toutefois, la complicité dont le duo a fait preuve cette fois-ci donne place aux rumeurs sur leur relation en dehors du tournage. Interrogé par « Vanity Fair » sur la nécessité de bien se connaître pour jouer un couple convaincant, l’acteur de « Deux moi » a semé la confusion en répondant :

« Il faut surtout s’entendre ».

« On ressent une admiration mutuelle entre Adèle Exarchopoulos et lui : elle loue sa profondeur et sa luminosité, dans Gala, il applaudit ses talents de comédienne », lit-on dans Vanity Fair.

Aussi bien dans la presse que sur les réseaux sociaux, une potentielle romance pourrait exister entre les deux acteurs. Ces rumeurs expliquent que le fait d’interpréter un couple aurait fait naître de véritables sentiments entre eux.  Jusqu’à présent, aucun des deux acteurs n’a confirmé ces informations.

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À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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