Eurovision 2024 : La France avec Slimane, décryptage des 26 Chansons en lice, ordre de Passage, et pronostics pour la grande finale

Eurovision 2024 : La France avec Slimane, décryptage des 26 Chansons en lice, ordre de Passage, et pronostics pour la grande finale

Temps de lecture moyen : 4 minutes

Ce samedi soir, en direct sur France 2, les téléspectateurs auront rendez-vous avec le dernier prime de l’Eurovision 2024. Tout savoir sur la grande finale de la 68e édition.

Lors de la saison précédente, soit de 2023, c’était la Suédoise Loreen qui a brillamment remporté le concours de l’Eurovision. Elle nous a tous marqués avec sa prestation de la chanson « Tattoo ». Celle-ci deviendra plus tard un énorme tube international. Comme à l’accoutumée, le pays vainqueur d’une saison abrite la saison suivante. C’est donc en Suède que se déroule l’Eurovision 2024. Pour accueillir le show, trois villes étaient en course, à savoir Stockholm, Malmö et Göteborg. Finalement, le comité d’organisation a choisi Malmö, cette ville de 318 000 habitants, et sa salle de 15 000 places.

Il convient de rappeler que l’Eurovision de 2024 est la septième édition que la Suède abrite. Et ce grâce à ses victoires en 1974, 1984, 1991, 1999, 2012, 2015 et 2023. Les premiers Suédois ayant remporté le concours étaient le groupe ABBA avec leur mémorable titre « Waterloo ». Par ailleurs, et pour la finale de l’Eurovision 2024, les votes des téléspectateurs seront ouverts dès le début de la finale, et non plus après l’ensemble des prestations. Il s’agit d’une exception qui n’a eu lieu qu’en 2010 et 2011. Encore, le public des pays non participants aura vingt-quatre heures pour voter, entre la fin des demi-finales et le début de la finale.

Eurovision 2024 : Slimane, l’espoir français

Depuis novembre dernier, on sait que Slimane représentera la France à l’Eurovision 2024 avec sa chanson « Mon Amour ». L’auteur-compositeur a décroché une « Victoire » de la musique et un « NRJ Music Awards » en 2020. Depuis 2023, il est membre du jury du programme de TF1 « The Voice Kids ». Le natif de Chelles s’est fait connaître du grand public en remportant la saison 5 de l’émission de télévision française « The Voice : la plus belle voix » en 2016. Depuis, il a connu un succès remarquable dans l’industrie musicale française. Son style musical est varié, allant de la pop au R&B en passant par la chanson française. Il a sorti plusieurs albums studio qui ont rencontré un large succès auprès du public.

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En effet, après son passage lors de la deuxième demi-finale jeudi 9 mai, Slimane chantera en 25e  position lors de la grande finale de l’Eurovision 2024. Son passage en deuxième partie de la soirée peut constituer un avantage. Le représentant de la France se positionne comme 6e favori pour remporter le concours avec 37 % de chance de réussite. Et ce selon le classement des bookmakers dévoilé quelques heures avant la finale. Les plus grands favoris sont la Croatie, la Suisse et l’Ukraine.  Baby Lasagna, Nemo ainsi qu’Alyona Alyona et Jerry Heil les représentent respectivement. Il convient de noter que la France a remporté cinq éditions de l’Eurovision. Le dernier sacre français est signé Marie Myriam avec « L’oiseau et l’enfant » en 1977.

Grande finale : Ordre de passage

  • Suède : Marcus & Martinus avec Unforgettable
  • Ukraine : Alyona Alyona & Jerry Heil avec Teresa & Maria
  • Allemagne : Isaak avec Always on the run
  • Luxembourg : Tali avec Fighter
  • Pays-Bas : Joost Klein avec Europapa (disqualifié)
  • Israël : Eden Golan avec Hurricane
  • Lituanie : Silvester Belt avec Luktelk
  • Espagne : Nebulossa avec Zorra
  • Estonie : 5MIINUST x Puuluup avec (nendest) narkootikumidest ei tea me (küll) midagi
  • Irlande : Bambie Thug avec Doomsday Blue
  • Lettonie : Dons avec Hollow
  • Grèce : Marina Satti avec Zari
  • Royaume-Uni : Olly Alexander avec Dizzy
  • Norvège : Gåte avec Ulveham
  • Italie : Angelina Mango avec La Noia
  • Serbie : Teya Dora avec Ramonda
  • Finlande : Windows95man avec No Rules!
  • Portugal : Iolanda avec Grito
  • Arménie : Ladaniva avec Jako
  • Chypre : Silia Kapsis avec Liar
  • Suisse : Nemo avec The Code
  • Slovénie : Raiven avec Veronika
  • Croatie : Baby Lasagna avec Rim Tim Tagi Dim
  • Géorgie : Nutsa Buzaladze avec Firefighter
  • France : Slimane avec Mon amour
  • Autriche : Kaleen avec We will rave

À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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