L’affaire qui secoue le monde de la musique prend un nouveau tournant. Alors que deux techniciens accusent le chanteur d’agression et de harcèlement ***uel, l’existence de vidéos compromettantes pourrait apporter des preuves décisives. Une clé USB mystérieuse se retrouve au cœur de l’enquête.
Résumé :
- Le 29 octobre, une première plainte pour harcèlement ***uel est déposée contre Slimane
- De nouvelles vidéos compromettantes auraient été filmées lors d’une soirée
- Le frère du chanteur aurait tenté de faire supprimer les preuves
- Une enquête préliminaire est ouverte pour « harcèlement ***uel aggravé »
L’affaire Slimane prend une tournure inattendue avec la révélation d’éléments potentiellement accablants. Alors que Le Parisien dévoilait le 29 octobre une première plainte pour harcèlement ***uel contre le chanteur, de nouveaux éléments viennent aujourd’hui renforcer la gravité des accusations. Au cœur de ces révélations : des vidéos qui auraient capturé le comportement inapproprié de l’artiste lors d’une soirée après un concert.
Ces nouvelles preuves, dont certaines seraient déjà entre les mains de la justice, pourraient bien faire basculer l’enquête et mettre en péril la carrière de l’interprète de « Mon amour ».
Chronologie d’un scandale qui s’amplifie
Tout commence le 29 octobre dernier, quand Le Parisien révèle qu’une plainte pour harcèlement ***uel a été déposée contre Slimane. Un premier témoignage qui ouvre la boîte de Pandore. Trois semaines plus tard, c’est au tour d’un second technicien de sortir du silence, apportant avec lui son lot de révélations troublantes.
Les faits se seraient déroulés lors d’une soirée organisée après un concert au Zénith de Saint-Étienne, dans le cadre du Cupidon Tour. Le plaignant, technicien lumière pour PlayTwo, le producteur de la tournée, rapporte une série d’événements qui dressent un portrait accablant du chanteur.
Des preuves vidéos au coeur de l’affaire
Ce qui distingue particulièrement cette affaire, c’est l’existence possible de preuves vidéo des faits allégués. Selon les informations rapportées dans la plainte, plusieurs personnes présentes lors de la soirée auraient filmé le comportement du chanteur avec leurs téléphones portables. Des images qui pourraient s’avérer déterminantes pour la suite de l’enquête.
La soirée aurait rapidement dégénéré après que Slimane a lancé « T’es bonne, toi » au technicien. Les faits qui auraient suivi sont particulièrement graves : selon la plainte, l’artiste aurait agréssé de la victime présumée, avant de tenter de poser sa main sur son ****.
Conscient de la gravité de la situation, le frère de Slimane serait intervenu promptement, ordonnant aux témoins de « supprimer les vidéos de ce qui s’est passé ». Son injonction « Je ne veux rien voir ! » témoigne de l’urgence avec laquelle il tentait de faire disparaître ces preuves potentielles.
L’enquête s’accélère
Face à la multiplication des témoignages et à l’existence possible de preuves tangibles, l’enquête prend une nouvelle dimension. Le 7 novembre, le procureur a officiellement ouvert une enquête préliminaire pour « faits de harcèlement ***uel aggravé ». Une qualification juridique qui souligne la gravité des accusations portées contre le chanteur.
Parmi les éléments clés dont dispose désormais la justice figure une mystérieuse clé USB. Ce support numérique contiendrait des captures d’écran d’échanges ainsi que des vidéos liées à l’affaire. Un élément qui pourrait s’avérer crucial pour la suite de l’instruction.
Les prochaines étapes de l’enquête prévoient l’audition de Slimane ainsi que d’autres protagonistes potentiels. Ces témoignages seront déterminants pour éclaircir les zones d’ombre qui subsistent encore autour de cette affaire qui secoue le monde de la musique française.