Dessert estival : la recette authentique de la Pavlova aux fruits frais !

C’est le printemps avec ses beaux jours. Quoi de mieux qu’un dessert rafraîchissant ? Découvrez la recette de Pavlova aux fruits et profitez d’une fin de repas délicieuse.

Pour un peu d’histoire, la Pavlova tire son nom de la célèbre danseuse de ballet russe, Anna Pavlova. Celle-ci a ébloui le monde de la danse au début du 20^e siècle. Sa grâce, sa légèreté et son élégance ont inspiré le chef pâtissier d’un célèbre hôtel en Nouvelle-Zélande. Il a par la suite créé ce dessert en son honneur lors de la tournée de la ballerine dans les années 1920.

Quant à l’aliment, la Pavlova aux fruits est bien plus qu’un simple dessert. Cette création fusionne l’élégance avec la gourmandise, pour offrir une expérience gustative inoubliable. Généralement, elle est à base de meringue à la fois croquante et moelleuse. Cette dernière est ensuite couronnée d’une généreuse couche de crème fouettée, apportant une touche de douceur veloutée. Enfin, on y rajoute des fruits frais.

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Pavlova aux fruits : Ingrédients

Afin de préparer chez vous, pour six personnes, la Pavlova aux fruits, vous aurez besoin de :

Pour la meringue :

• 4 blancs d’œufs
• 250 g de sucre en poudre
• 1 cuillère à soupe de fécule de maïs
• 1 cuillère à soupe de vinaigre blanc
• 1 cuillère à café d’extrait de vanille

Ingrédients de la garniture :

• 300 ml de crème liquide entière
• 1 cuillère à soupe de sucre glace
• Fruits frais variés (fraises, kiwis, fruits de la passion, etc.)

Préparation étape par étape

• Préchauffez le four à 120°C.
• Tracez un cercle de 20 cm sur du papier sulfurisé.
• Fouettez les blancs d’œufs en neige jusqu’à ce qu’ils forment des pics fermes.
• Ajoutez progressivement le sucre en continuant de fouetter jusqu’à obtenir une meringue brillante et ferme.
• Incorporez délicatement la fécule de maïs, le vinaigre et la vanille.
• Étalez la meringue en formant un cercle épais sur le papier sulfurisé.
• Creusez légèrement le centre pour former un nid.
• Enfournez pendant 1h15, puis laissez refroidir dans le four étei*t.
• Fouettez la crème liquide avec le sucre glace jusqu’à obtenir une texture légère.
• Garnissez la meringue refroidie de crème fouettée et décorez avec les fruits frais de votre choix.
• Servez et dégustez votre Pavlova aux fruits !

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À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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