Recette classique : sauté de dinde Marengo

Recette classique : sauté de dinde Marengo

Temps de lecture moyen : 2 minutes

Découvrez la recette du sauté de dinde Marengo. Savoureux et nutritif, ce plat est idéal pour toutes les occasions.

Comme son nom l’indique, le sauté de dinde Marengo est un plat traditionnel originaire de la région de Marengo en Italie. Plus précisément, il tire son nom de la bataille de Marengo en 1800, remportée par Napoléon Bonaparte. Selon la légende, ce plat aurait été préparé par son chef cuisinier pour célébrer la victoire.

En effet, la recette classique du sauté de dinde Marengo comprend généralement des morceaux de dinde dorés dans de l’huile d’olive. Ils sont ensuite mijotés avec des oignons, de l’ail, des champignons, des tomates, du vin blanc et parfois du bouillon de volaille. Il est souvent aromatisé avec du thym, du laurier et parfois du basilic.

Sauté de dinde Marengo : Ingrédients

Afin de préparer la sauté de dinde Marengo pour quatre personnes, vous aurez besoin de :

  • 600g de viande de dinde
  • 200g de champignons de Paris
  • 10g de farine
  • 1 Branche de thym
  • 1 Oignon
  • 1 Gousse d’ail
  • 1 Carotte
  • 1 Petite boîte de tomates concassées
  • 20cl de bouillon de volaille
  • 10cl de vin banc
  • 1 cuil. à soupe d’huile d’olive
  • 1 noisette beurre
  • Sel
  • Poivre

Préparation étape par étape

  • Pelez et émincez l’oignon et l’ail.
  • Épluchez et lavez la carotte puis coupez-la en dés.
  • Détaillez la viande en gros cubes.
  • Faites chauffer l’huile dans une cocotte et faites revenir l’oignon.
  • Ajoutez les cubes de viande et faites-les dorer de tous les côtés.
  • Versez la farine et mélangez pour bien enrober les morceaux.
  • Versez alors le bouillon de volaille et le vin blanc, puis incorporez les dés de carotte, les tomates concassées, l’ail et le thym.
  • Laissez cuire tout doucement pendant 40 min.
  • Nettoyez et émincez les champignons.
  • Faites-les cuire dans une poêle chaude beurrée, jusqu’à évaporation de l’eau de végétation.
  • Incorporez-les dans la cocotte, mélangez, salez, poivrez et poursuivez la cuisson 30 min.
  • Servez bien chaud, directement dans la cocotte.
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À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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