Steak Tartare à la Française : un plaisir bistrot à préparer chez soi pour les journées ensoleillées

Steak Tartare à la Française : un plaisir bistrot à préparer chez soi pour les journées ensoleillées

Temps de lecture moyen : 2 minutes

Plus besoin de réserver une table au restaurant pour profiter de cet emblématique plat. Désormais, vous pouvez préparer le steak tartare chez vous.  

Savoureuse spécialité de la cuisine française, le steak tartare est bien plus qu’un simple plat. Il s’agit plutôt d’un chef-d’œuvre culinaire qui marie la fraîcheur des ingrédients avec la précision artistique de la préparation. Cette recette remonte au 19e siècle, elle est apparue en France et en Belgique. Son nom est tiré des Tatars, un peuple nomade d’Europe de l’Est qui aurait consommé de la viande crue hachée.

En effet, le secret du steak tartare réside dans la qualité et la fraîcheur de ses ingrédients. Traditionnellement, ce plat se prépare avec du bœuf cru de haute qualité, comme du filet mignon ou du rumsteck. On y utilise également des câpres, des cornichons, de l’échalote, du persil frais et de la moutarde de Dijon, entre autres. Ces éléments ajoutent des notes acidulées, aromatiques et épicées au plat.

Steak tartare à la française : Ingrédients

Afin de préparer une portion de steak tartare chez vous, vous aurez besoin de :

  • 150 à 200 g de viande de bœuf maigre (rumsteck, contre-filet ou tranche grasse)
  • Sel
  • Poivre
  • Sauce Worcestershire
  • 1 jaune d’œuf
  • 1 cuillère à soupe d’oignon haché (optionnel)
  • 1 cuillère à soupe de câpres égouttées (optionnel)
  • 1 pincée de persil ciselé (optionnel)
  • 1 cuillère à soupe d’échalote hachée (optionnel)

Préparation étape par étape

  • Hachez la viande. Faites-le vous-même au couteau, au hachoir à viande ou au mixeur. Pour ce faire, coupez préalablement la viande en morceaux.
  • Salez et poivrez la viande.
  • Ajoutez ensuite quelques gouttes de Worcestershire.
  • Façonnez la viande en boule, puis dressez sur une assiette.
  • Creusez un trou au centre, puis déposez le jaune d’œuf cru.
  • Si vous le souhaitez, vous pouvez disposer autour de la viande l’oignon, les câpres, le persil et l’échalote.
  • Servez et dégustez votre steak tartare !
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À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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