Community management : une passion engageante pour les vrais amoureux du Web

Community management : une passion engageante pour les vrais amoureux du Web

Temps de lecture moyen : 4 minutes

De nos jours, les réseaux sociaux sont partout présents, même dans les entreprises. Celles-ci se retrouvent dans le besoin de recruter une personne pour renforcer leur présence sur le Web : le community manager.

Dans un monde où la digitalisation est en pleine expansion, les réseaux sociaux sont devenus un outil indispensable. Pour les entreprises, ces plateformes numériques constituent un terrain de jeu essentiel afin d’atteindre et d’engager leur public cible. Pour ce faire, toute société se retrouve dans le besoin de recruter un, voire plusieurs selon sa taille, community manager.

En effet, on peut dire que le community manager est le visage numérique d’une entreprise ou d’une marque. Son principal rôle est de construire, développer et maintenir la présence en ligne d’une entreprise sur les réseaux sociaux. Son objectif, comme son nom l’indique, est de gérer une communauté qui s’engage autour de la marque et d’interagir avec elle de manière authentique.

Community manager : responsabilités et compétences requises

Au sein d’une entreprise, le community manager doit faire preuve de polyvalence. Car oui, dans le cadre de sa mission, plusieurs compétences sont de rigueur. Tout d’abord, il est chargé de la gestion quotidienne des réseaux sociaux de l’entreprise tels que Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn, etc. Cela implique également de publier du contenu, de répondre aux commentaires et messages, et de surveiller les tendances. Outre cela, le community manager doit enrichir ces plateformes en créant du contenu pertinent et attrayant comme des images, vidéos, articles, etc. Ce n’est pas tout, la veille et l’analyse font également partie des tâches du community manager. Dans ce sens, il surveille les tendances, suit les performances des publications, analyse les données, et ce pour ajuster la stratégie de l’entreprise. Mis à part tout cela, le community manager se doit d’être constamment mobilisé et connecté. Rien ne doit lui échapper.

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Par ailleurs, et tenant compte des diverses tâches qui lui sont confiées, un community manager doit avoir une multitude de compétences. Tout d’abord, et vu qu’il travaille avec une communauté, d’excellentes compétences en communication sont indispensables. En effet, il faut qu’il soit capable de rédiger du contenu clair, engageant et adapté à chaque plateforme sociale. De plus, un bon community manager est celui qui maîtrise l’art de la conversation. En parallèle, et pour une forte présence sur les réseaux sociaux, la créativité est de mise. Concevoir des visuels accrocheurs, mettre en place des campagnes de marketing, capturer les moments forts de l’entreprise, tout cela aide la société à se démarquer sur le Web. Par ailleurs, l’efficacité d’un community manager, c’est également grâce à ses compétences techniques. Il est censé connaître les modes de fonctionnement de chaque plateforme et maîtriser les outils d’analyse.

Tendances salariales actuelles

En France, la demande sur des community managers au sein des entreprises, même les plus petites, a considérablement augmenté lors de la dernière décennie. Concernant le salaire, il varie en fonction de l’expérience, du secteur d’activité, de la localisation géographique et de la taille de l’entreprise.

Toutefois, et de manière générale, les entreprises actuellement à la recherche de community managers proposent des salaires annuels compris entre 25 000 € et 35 000 €. Évidemment, après quelques années d’expérience, ces chiffres peuvent augmenter pour se situer entre 35 000 € et 50 000 € par an.

À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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