Prêt pour le week-end en voiture électrique ? Tout ce que vous devez savoir avant de partir !

Prêt pour le week-end en voiture électrique ? Tout ce que vous devez savoir avant de partir !

Temps de lecture moyen : 3 minutes

L’été approche à pas de géant ! Cela est synonyme de voyages et de prises de route pour de longs trajets. Si vous conduisez une voiture électrique, voici ce que vous devriez savoir avant de faire votre départ.

En vue de préserver l’intégrité des écosystèmes de la planète, l’Union Européenne s’est fixée pour objectif d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Évidemment, cela passe par le remplacement progressif des véhicules à moteur à combustion interne par des véhicules électriques. Raison pour laquelle plus aucun véhicule thermique ne sera vendu en Europe à partir de 2035.

En effet, la bonne nouvelle est que cette transition en France se fait de manière très fluide. Une étude a été menée par « Virta » et a révélé que les véhicules électriques et hybrides représentaient 40 % des intentions d’achat fin 2023. Statistiquement parlant, les immatriculations de voitures particulières électriques sur le sol hexagonal sont au nombre de 298 522 en 2023, soit 16,8 % du marché.

Voiture électrique : Autonomie, itinéraire et plein d’autres choses

Pour tout conducteur d’une voiture électrique, la principale préoccupation est souvent l’autonomie de la batterie et les stations de recharge disponibles. Dans ce sens, essentiel serait de connaître l’autonomie de votre voiture électrique et de planifier vos trajets en conséquence. Et ce, en tenant compte bien sûr des distances entre les stations de recharge. Certes, vous ne rencontrez aucun problème d’autonomie dans les trajets quotidiens. Toutefois, cela peut créer des problèmes quand on prend l’autoroute pour des centaines de kilomètres.

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En parallèle, avant de partir en voyage avec une voiture électrique, il serait judicieux de planifier préalablement votre itinéraire en tenant compte des stations de recharge disponibles le long du trajet. Pour ce faire, plusieurs applications et sites Web spécialisés sont disponibles pour localiser les stations de recharge et planifier vos arrêts. Encore, il faudrait vous assurer également de prendre en compte les temps de recharge. Ceux-ci peuvent varier en fonction du type de chargeur utilisé et du niveau de charge de votre batterie. En France, on compte 148 points de charge pour 100 000 habitants.

Outils, vigilance et économie 

Les adaptateurs et les câbles de recharge sont essentiels pour rouler en voiture électrique. Avant de faire votre départ, assurez-vous d’avoir des câbles de recharge supplémentaires au cas où vous auriez besoin de recharger à un endroit où les câbles sont absents ou endommagés. Par ailleurs, et afin de voyager en toute sécurité, il faudrait rester vigilant quant aux vérifications de base. Pression des pneus, niveau de liquide de refroidissement, niveau de charge de la batterie, etc. Rien n’est à laisser au hasard.

Outre cela, et au même titre qu’un véhicule thermique, mieux vaudrait toujours d’opter pour une conduite économe en énergie. Pour ce faire, notamment sur les longs trajets, évitez les accélérations brusques et maintenez une vitesse constante pour minimiser la consommation d’énergie de votre voiture électrique. Aussi, privilégiez l’utilisation des systèmes de récupération d’énergie lors des décélérations pour recharger la batterie et maximiser votre autonomie. Là, que vous avez tout vérifié, roulez prudemment et bon voyage !

À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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