Choose France 2024 : Versailles accueille la 7e édition de l’événement international avec la participation attendue de dirigeants de grandes entreprises étrangères

Choose France 2024 : Versailles accueille la 7e édition de l’événement international avec la participation attendue de dirigeants de grandes entreprises étrangères

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La 7e édition du sommet Choose France se tient à Versailles lundi 13 mai. Quelque 240 PDG d’entreprises étrangères et françaises y seront présents. Au menu du jour, des investissements autour de l’IA, du quantique et de la décarbonation.

Ce lundi 13 mai, au château de Versailles, se tiendra la 7e édition du sommet Choose France. Le président de la République, Emmanuel Macron, accompagné de plusieurs membres de son gouvernement, reçoivent 240 patrons étrangers et français. L’objectif est d’essayer de convaincre ces dirigeants d’entreprises d’investir dans l’Hexagone. Le chef de l’État a tenu, depuis qu’il a lancé la 1ère édition en 2018, à renforcer l’attractivité de la France auprès des investisseurs.

En effet, pour 2024, ce sera l’opportunité de mettre l’accent sur les réformes favorables aux entreprises qui viennent d’être adoptées. Entre autres les baisses d’impôts ou encore la simplification du Code du travail. Un événement pareil ne pourrait se tenir sans une mise en scène bien réfléchie. Donc, un dîner dans la galerie des Glaces du château de Versailles sera organisé. Encore, les PDG pourront rencontrer certains ministres du gouvernement.

Plus de 15 milliards d’euros d’investissements

Sous le thème « France, terre de champions », le Choose France 2024 espère pouvoir battre tous les records. La bonne nouvelle est qu’il semble être sur les bons rails pour y parvenir. L’édition de cette année doit donner lieu à plus de 15 milliards d’euros d’investissements dans le pays, pour un total de 56 projets, indique l’Élysée. D’une manière plus générale, et selon le magazine L’Usine Nouvelle, 122 projets d’investissements ont été annoncés depuis la création du sommet. Il convient de rappeler qu’en 2023, l’évènement a pu attirer 28 projets pour une enveloppe budgétaire globale de 13 milliards d’euros. Ce fut déjà un record que la France compte battre lors de cette 7e édition.

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En effet, le plus gros investissement de cette année, c’est celui de Microsoft. Le géant américain déboursera 4 milliards d’euros pour construire plusieurs centres de données pour développer l’intelligence artificielle en France. Encore, ce projet vise la formation d’un million de Français à l’horizon 2027 et soutenir plus de 2 500 start-ups dans l’Hexagone. De son côté, le leader du e-commerce, Amazon, va investir plus de 1,2 milliards d’euros. Cela pour mettre en place des infrastructures logistique et web, avec la création de plus de 3 000 emplois, a annoncé l’Élysée. Ce projet porte principalement sur le développement de l’infrastructure cloud d’Amazon Web Services (AWS).

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Choose France 2024 : Des patrons de haut niveau

La 7e édition de Choose France connaîtra un nombre record de participants. Les équipes y attendent 180 patrons étrangers, dont une soixantaine qui participent au sommet pour la première fois. Pour cette année, des dirigeants de très grandes entreprises seront présents à Versailles.

Parmi ces têtes d’affiche on cite les patrons de « Coca-Cola Company » et d’« ArcelorMittal ». Encore, y seront présents des dirigeants de géants de la finance tels que « Bank of America», « Goldman Sachs » ou encore « JP Morgan ».

À propos de l'auteur :

Achraf El Ouad
Achraf El Ouad

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

Linguiste de formation, écrivain par vocation et journaliste… par hasard. Après avoir décroché mon master en traduction, je me suis lancé dans ma quête d’emploi. Comme activités rentables, il n’y avait que des cours de français à domicile, télévente dans des centres d’appel, entre autres. En parallèle, je me régalais sur ma page Facebook à exprimer mon opinion sur des sujets d’actualité. En 2021, j’ai rejoint L’Opinion, journal francophone de renom au Maroc, en tant que journaliste et, quelques mois plus tard, correcteur. Contrairement aux discours presque partout chantés, notamment lors des entretiens d’embauche ou sur les lignes désespérées des lettres de ''motivation'', sur les rêves d’enfance et la passion que l’on éprouve pour ce métier, le journalisme ne m’a jamais impressionné ainsi. C’était, avant tout, une tribune à travers laquelle je pensais, autrefois allochtone vis-à-vis du territoire et de la langue des supports médiatiques, pouvoir laisser danser ma plume sur la blancheur des feuilles.

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